Le 20 mars, nous célébrons la Francophonie et la planète

20 MARS 2015

(FREDERICTON, N.-B.) Le 20 mars marque la Journée internationale de la Francophonie, une journée pendant la Semaine de la fierté française quand l'on célèbre la langue française et on reconnait les contributions de la communauté francophone au Nouveau-Brunswick. Cette journée sert à nous rappeler de la beauté de la diversité au Nouveau-Brunswick, en particulier parmi les anglophones et les francophones, qui continue à bénéficier notre province officiellement bilingue.

L'Organisation internationale de la Francophonie a pour thème de la journée cette année, « J'ai à cœur ma planète », une campagne dont laquelle la Secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, a choisi de lancer une consultation de la jeunesse sur le développement durable : « parce que ses idées, sa force de mobilisation et d'innovation sur les enjeux que représentent les changements climatiques sont nécessaires », dit-elle.

Madame Jean invite les jeunes francophones des 5 continents à une participation citoyenne sur les réseaux sociaux et les a encouragés à se mobiliser pour partager des solutions innovantes permettant aux pays francophones vulnérables de s'adapter aux impacts négatifs des changements climatiques.

Comme le seul membre de l'Assemblée législative qui défend la durabilité et le climat, le chef du Parti Vert et député de Fredericton-sud, David Coon, supporte cette campagne avec enthousiasme. « Il est très important de faire participer les jeunes à relever les défis auxquels nous sommes confrontés avec le réchauffement climatique et le développement durable. J'appuie sans réserve la campagne lancée par Mme Jean », déclare M. Coon.

Le chef du Parti Vert dit que la 20 mars est un jour pour les francophones et les anglophones pour célébrer les progrès que nous avons fait au Nouveau-Brunswick pour protéger la langue française et assurer la culture acadienne peut s'épanouir. Toutefois, il souligne qu'il reste beaucoup de travail à faire pour atteindre le même pour les peuples autochtones du Nouveau-Brunswick dont les langues, il a noté, sont en grand danger.

« En tant qu'un Néo-Brunswickois, je suis fier des protections constitutionnelles qui ont été durement acquis pour la langue française et la culture acadienne au Nouveau-Brunswick », dit M. Coon. « Cela fait partie de ce qui nous définit en tant que Néo-Brunswickois. J'invite tous les Néo-Brunswickois à me joindre pour célébrer la Francophonie », ajoute-t-il.

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